Le Gall Frank
La note de l'éditeur :
Dans les tourbillons de l'aventure
Les années vingt, de Dunkerque à Jakarta. De l'obscur employé de bureau au célèbre aventurier. De l'enfant grandi auprès des femmes en robes d'organdi au voyageur impénitent. De Théodore, naïf et réservé, à Poussin, lancé par son étrange destin dans les tourbillons de l'aventure. Entre Joseph Conrad et Robert Louis Stevenson, une saga magique qui touche au plus profond de l'âme.
Paul Auster
23/11
Hier j'ai commencé ce livre.
Lecture conseillée.
24/11
Au plus j'avance dans sa lecture au plus ce livre me porte, il me donne du plaisir, il me fait rire, il me donne envie de regarder autour de moi, d'observer les hommes et les femmes. Plus je frisonne aussi... ces histoires sont les nôtres et bon sang!... c'est lourd.
in Le guide
'Oui, la vie continue, avec son cortège de tristesses et de rires. Et ce n'est sans doute pas un hasard si Paul Auster, après deux romans plutôt sombres, « Le livre des illusions » et « La nuit de l'oracle », donne en cette rentrée littéraire un roman drôle, gai, coloré, d'une humeur positive qui ne manquera pas de surprendre ni de séduire, avant d'emporter définitivement l'adhésion. Comme pour conjurer la noirceur de ce XXIe siècle débutant, c'est bien d'une douce folie qu'il s'agit.'
in Lire
'Les folies que met en scène Paul Auster, ce sont celles de notre quotidien à tous. L'envie d'échapper au destin, de goûter à l'harmonie des sens et à la paix intérieure. Ces buts précipitent ceux qui les poursuivent sur des sentiers où s'arrêter signifie mourir. Mais à chaque carrefour, Paul Auster a placé un symbole de cette Amérique des années 2000 qui lui fait si peur et qu'il a entrepris de réinventer: les fous furieux de la droite chrétienne, le lobby des armes à feu, le mouvement anti-avortement, les preuves de la dégénérescence du système éducatif, la religion du fric... Et le ciel bleu d'un certain matin de septembre, il y a quatre ans.'
Auster
Fabrice
Hier j'ai commencé ce livre.
Lecture conseillée.
24/11
Au plus j'avance dans sa lecture au plus ce livre me porte, il me donne du plaisir, il me fait rire, il me donne envie de regarder autour de moi, d'observer les hommes et les femmes. Plus je frisonne aussi... ces histoires sont les nôtres et bon sang!... c'est lourd.
in Le guide
'Oui, la vie continue, avec son cortège de tristesses et de rires. Et ce n'est sans doute pas un hasard si Paul Auster, après deux romans plutôt sombres, « Le livre des illusions » et « La nuit de l'oracle », donne en cette rentrée littéraire un roman drôle, gai, coloré, d'une humeur positive qui ne manquera pas de surprendre ni de séduire, avant d'emporter définitivement l'adhésion. Comme pour conjurer la noirceur de ce XXIe siècle débutant, c'est bien d'une douce folie qu'il s'agit.'
in Lire
'Les folies que met en scène Paul Auster, ce sont celles de notre quotidien à tous. L'envie d'échapper au destin, de goûter à l'harmonie des sens et à la paix intérieure. Ces buts précipitent ceux qui les poursuivent sur des sentiers où s'arrêter signifie mourir. Mais à chaque carrefour, Paul Auster a placé un symbole de cette Amérique des années 2000 qui lui fait si peur et qu'il a entrepris de réinventer: les fous furieux de la droite chrétienne, le lobby des armes à feu, le mouvement anti-avortement, les preuves de la dégénérescence du système éducatif, la religion du fric... Et le ciel bleu d'un certain matin de septembre, il y a quatre ans.'
Auster
Fabrice
Jean Barbe
Un bouquin commencé ce matin, pour occuper mon trajet Mons-Bruxelles. Pas mal, pas mal...
Le choix s'est fait sur le titre, j'ai une affection très particulière pour les hommes à plumes.
un avant-goût...
Fabrice
J'ai pratiquement terminé le livre de Jean Barbe, je ne lis pas, je l'ingère. Restera à le digérer. Cette histoire d'années 80, d'années 90 c'est un peu la nôtre les trentenaires. Chacun des personnages oblige à une identification qu'on a envie de pousser à l'introspection. Comment ces drôles d'années ont glissé sur nous. Que devenons-nous, où en sont nos aspirations d'antan? Quelles concessions, avec quelles douleurs. Quels objectifs avec quels bonheurs. Nous sommes là (las parfois) au milieu du gué, et je me pose cette question : est-il encore nécessaire ou possible de redresser la barre?
Antoine de Saint-Exupéry / Joseph Conrad
J'ai découvert ou redécouvert ces deux dernières années - années où les difficultés m'ont rendu plus attentif à l'essence de l'humanité – deux auteurs essentiels : Antoine de Saint-Exupéry – avec Terre des hommes - et Joseph Conrad – avec Le nègre du « Narcisse » et Le compagnon secret. Lisez les. Ce n'est pas un ordre mais une ordonnance - prescription - pour toutes celles et tous ceux qui me lisent.
Yoko Ogawa
Quel beau livre! Quel tendresse pour ce personnage! Au fur et à mesure que j'avance dans ma lecture, mon attachement pour le professeur croît.
Fabrice
Une aide-ménagère est embauchée chez un ancien mathématicien, un homme d'une soixantaine d'années dont la carrière a été brutalement interrompue par un accident de voiture, catastrophe qui a réduit l'autonomie de sa mémoire à quatre-vingts minutes. Chaque matin en arrivant chez lui, la jeune femme doit de nouveau se présenter - le professeur oublie son existence d'un jour à l'autre - mais c'est avec beaucoup de patience, de gentillesse et d'attention qu'elle gagne sa confiance et, à sa demande, lui présente son fils âgé de dix ans. Commence alors entre eux une magnifique relation. Le petit garçon et sa mère vont non seulement partager avec le vieil amnésique sa passion pour le base-ball, mais aussi et surtout appréhender la magie des chiffres, comprendre le véritable enjeu des mathématiques et découvrir la formule préférée du professeur... Un subtil roman sur l'héritage et la filiation, une histoire à travers laquelle trois générations se retrouvent sous le signe d'une mémoire égarée, fugitive, à jamais offerte...
Addendum
Pour rendre plus vivant ce blog : permettre à chacun de déposer son message sur un livre lu, un livre aimé ou détesté...
jeudi, mars 09, 2006
Principe
Je lis, tu lis, Il lit, nous lisons, vous lisez, ils lisent…
Une envie (pas une idée, le principe n'est pas neuf), partager des lectures.
On peut partager l'envie de lire, mais j'aimerais partager le media, le papier, le livre lui-même.
Parce que le projet, c'est de faire vivre un livre, le faire voyager, le faire souffrir. Il doit pouvoir s'écorner, s'annoter sans honte.
Pratiquement: j'achète un livre et je lui donne sa liberté en le postant à un amis, un inconnu peut-être, qui le lit, fait coucou au blog avec ses commentaires et l'envoie à un ami, un inconnu peut-être qui le lit, fait coucou au blog avec ses commentaires… Chaque livre envoyé aura un point de départ et de chute sur le blog.
Ce projet peut mourir dans l'œuf, il faut une bonne part de naïveté pour y croire, il faut une bonne bande de naïfs pour le faire vivre.